Ils veulent t'achever? Anticipe le coup

J'aurai aimé en ce soir de septembre, vous vanter les mérites des poivrons marinés de ma mère. Vous faire partager ma joie d'avoir découvert qu'une personne de mon lycée habite à Rambouillet, vous dire que je m'en sens inutilement heureuse. J'aurais bien aimer vous parler du soleil aussi, quand il se couche sur Sonchamp, que nos pédales se sentent libres sous nos pieds et inversement, que Chevreuse c'est pas si loin, que le bohneur non plus du coup. Que tout peux changer en un tour de clé. Que le coprin chevelu pousse aussi sur les pelouses d'un jardin d'une cité polonaise à l'arrière d'une chapelle Art Déco qui ne plaît pas à tout le monde surtout de l'exterieur, à Arceuil (94) -RER B [Laplace - Maison des Examens].

Mais voilà c'est pas tout. Il y a le stress, l'angoisse, l'opression, la peur ou la contrainte. Quand on se rends compte qu'à la fin de l'année le bon vieux coton de la sécurité ne sera plus présent. Qu'il faudra décider le -quoi faire après- et que le temps cours comme je ne l'avais jamais remarqué.

Il y a aussi ceux qui destabilisent, celles qui humilient. Alors que certains vous embobinent, d'autres vous détruisent. Certaines vous insurgent, pendant que d'autres vous écraseraient bien volontier. J'enfermerai bien ces têtes dans des bidets et ces mains sous du contre-plaqué.

Mais comme à dit Muni -Soyons humains-